Les derniers résultats d’analyses des eaux littorales et des coquillages confirment la présence de toxines lipophiles dans la chair des coquillages provenant du secteur de la baie de Lannion et de l’estuaire du Léguer, souligne la préfecture.
Les mesures d’interdiction « seront levées lors du retour à la normale de la qualité sanitaire des coquillages, attesté par l’obtention de deux séries consécutives de résultats inférieurs à la valeur seuil », précise la préfecture.