Destruction d’une bombe de la 2e Guerre mondiale au large de Bastia

Cette bombe de 500 livres larguée par l’aviation américaine durant les bombardements de Bastia en 1943 avait été localisée avec deux autres projectiles du même type à 60 mètres de fond au large de Bastia, en 2012 et 2014.

Elle a été remontée à la surface par les spécialistes du Groupe des plongeurs démineurs (GPD) de la Marine puis déplacée au large pour procéder à son contreminage et la faire exploser.

Deux navires spécialisés de la marine ont participé à cette opération: le chasseur de mines tripartite « Orion » et le bâtiment base du GPD, le « Pluton ».

D’autres unités de la gendarmerie maritime et de la gendarmerie ont assuré la sécurité de la zone dans laquelle toute baignade et navigation avaient été interdites durant l’après-midi, de même que la circulation routière dans le tunnel de Bastia et sur la route du front de mer menant au centre-ville.

La marine avait aussi procédé à des mesures d’effarouchement pour protéger les mammifères marins.

Voir les autres articles de la catégorie

ACTUALITÉS

Le Bénin et la mer

Découvrez GRATUITEMENT le numéro spécial consacré par Marine & Océans au Bénin et la mer

N° 282 en lecture gratuite

Marine & Océans vous offre exceptionnellement le numéro 282 consacré à la mission Jeanne d’Arc 2024 :
  • Une immersion dans la phase opérationnelle de la formation des officiers-élèves de l’École navale,
  • La découverte des principales escales du PHA Tonnerre et de la frégate Guépratte aux Amériques… et de leurs enjeux.
Accédez gratuitement à la version augmentée du numéro 282 réalisé en partenariat avec le Centre d’études stratégiques de la Marine et lÉcole navale

OCÉAN D'HISTOIRES

« Océan d’histoires », la nouvelle web série coanimée avec Bertrand de Lesquen, directeur du magazine Marine & Océans, à voir sur parismatch.com et sur le site de Marine & Océans en partenariat avec GTT, donne la parole à des témoins, experts ou personnalités qui confient leurs regards, leurs observations, leurs anecdotes sur ce « monde du silence » qui n’en est pas un.