Entre janvier et juin, le bénéfice d’exploitation a progressé de 40,4% à 67,4 millions d’euros, a précisé la direction dans un bref communiqué.
Dans le détail, le transport en France a notamment bénéficié de la bonne tenue de l’agroalimentaire « sur le segment frais comme sur le segment surgelé avec un taux de remplissage historique ». A l’étranger, Stef relève la « bonne orientation » de ses affaires en Italie et au Portugal.
Quant à l’activité maritime –avec la compagnie La Méridionale–, elle reste dans le vert, mais a souffert d’un recul du trafic, en raison de deux mouvements de grève.
Le chiffre d’affaires du groupe, déjà publié, a progressé de 7,0% sur les six premiers mois de l’année à 1,67 milliard d’euros.
Stef a parallèlement annoncé l’acquisition de Dyad, une entreprise spécialisée dans le conditionnement industriel qui emploie quelque 120 personnes et dispose « des machines les plus modernes du marché » selon la direction, qui ne communique pas le montant de l’opération.
Stef se dit « bien positionné pour relever les défis du second semestre », en mettant l’accent sur l’investissement immobilier dans ses entrepôts, le numérique et l’innovation.
Le groupe avait dégagé en 2018 un bénéfice net de 94,4 millions d’euros, sur un chiffre d’affaires de 3,255 milliards.
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