Les marins seront libérés d’ici trois jours, mais les bateaux resteront bloqués en attendant une décision de justice, a déclaré une source officielle au ministère qatari de l’Intérieur, citée par l’agence QNA.
Cette source a insisté sur le fait que les bateaux étaient « entrés illégalement dans les eaux qataris », un élément qui n’a pas été précisé dans une déclaration lundi du ministère bahreïni de l’Intérieur.
Bahreïn fait partie –avec l’Arabie saoudite, les Emirats arabes unis et l’Egypte– des pays ayant rompu le 5 juin leurs relations diplomatiques avec le Qatar, en l’accusant d’entretenir des liens avec des groupes extrémistes et de se rapprocher de l’Iran.
Doha a rejeté en bloc ces accusations.