Selon les premières informations, l’hélicoptère se trouvait en dehors de la zone de contrôle de la Grèce, « à 50 milles marins au large de l’île grecque de Céphallonie, dans la zone couverte par l’Italie, et participait à une opération de surveillance de la zone » par l’Alliance atlantique, a précisé cette source.
L’hélicoptère, un Sikorsky CH-124, selon le ministère grec de la Défense, appartenait à la frégate canadienne Fredericton d’où il a décollé pour effectuer une patrouille.
Ce bâtiment appartient aux forces navales de l’Otan SNMG2, selon la même source.
Mardi, cette opération de surveillance avait eu lieu dans les eaux grecques et, outre le navire canadien, des frégates italienne, grecque et turque y avaient participé, a dit cette source.
Mais mercredi, les forces de l’Otan ont quitté les eaux grecques et la frégate grecque s’est retirée de l’opération en restant dans les eaux territoriales de la Grèce.
Des forces navales et aériennes grecques sont prêtes à participer à une opération de sauvetage « si l’Italie le demande », a précisé à l’AFP une source militaire ayant requis l’anonymat.