A 15H30 (13H30 GMT), le prix du blé gagnait de 0,50 euro à 2 euros sur l’ensemble des contrats 2012 et 2013 dans un volume de moins de 12.300 lots.
L’échéance rapprochée de novembre, la plus négociée, progressait marginalement de 0,75 euro à 263 euros la tonne.
Au même moment, les cours du maïs progressaient de 0,25 à 3 euros sur les échéances 2012 et début 2013, mais le marché restait sans animation, avec 1.300 lots.
L’échéance d’août progressait de 1,75 euro à 265 euros la tonne.
Outre-Atlantique, le département américain de l’Agriculture (USDA) a procédé à une baisse de notations des cultures de maïs dont la part répondant aux critères de la classe « bonne à excellente » recule de 2 points à 24%.
Les prévisions météorologiques pour les dix prochains jours restant très pessimistes, le maïs a atteint un nouveau record ce matin sur le marché à terme de Chicago au cours de la séance électronique continue.
En Russie, les perspectives de récoltes de blé de printemps s’amoindrissent, tout comme celles du maïs et du tournesol en Ukraine et dans le Sud de l’Europe dans un contexte climatique de forte chaleur et de sécheresse.
En France, au nord de la Loire, les récoltes progressent entre deux averses. Les rendements de blé sont jugés pour le moment assez hétérogènes, mais ils restent dans une fourchette proche de la moyenne de ces cinq dernières années, selon Agritel.
Sur le marché physique, les prix du blé et du maïs étaient en hausse, tandis que l’orge fourragère restait stable.