L’eurodéputé était interrogé par i>TELE sur le refus la veille, de Jean-François Copé, le président de l’UMP, de faire connaître le choix qui serait le sien en cas de duel Hollande-Le Pen.
« Nous avons été confrontés à ce cas de figure en 2002 », a relevé M. Désir. « Nous avons, sans hésiter, appelé à faire barrage et à voter pour Chirac. Donc c’est Sarkozy, évidemment ». « Quand il y a le risque de l’extrême droite, il ne doit pas y avoir d’hésitation », a-t-il affirmé.
Il a donc trouvé le député-maire de Meaux « ultra réactionnaire sur le plan social », « ultra politicien sur les rythmes scolaires », et « ultra pas clair sur la lutte contre le FN ».