Cette phase d’installation mobilise cinq navires, a précisé la société, filiale de l’espagnol Iberdrola, dans un communiqué.
Ces fondations à bases triangulaires, d’un poids de 1.150 tonnes, d’une hauteur de 75 mètres et de 25 mètres de côté, sont « un treillis métallique fixé sur le fond marin par trois pieux de 18 à 47 mètres de long », selon la même source.
La société décrit des « structures » avec « un impact limité sur l’environnement », facilitant « la circulation des masses d’eau et de la biodiversité tout en favorisant l’effet récif artificiel ».
Contesté par des pêcheurs, le parc de 62 éoliennes est prévu pour entrer en service fin 2023. Il « produira l’équivalent de 9% de la consommation électrique de la Bretagne » et « contribuera à son autonomie énergétique », souligne en outre Ailes Marines.
La Bretagne ne produit actuellement que 19% de ses besoins en électricité, selon le Réseau de transport d’électricité (RTE).