« Nous ne sommes pas favorables à un boycott, nous pensons qu’il est préférable de chercher le dialogue », a déclaré le Premier ministre lors d’une conférence de presse à l’issue du conseil des ministres.
Les Pays-Bas et la Russie ont connu quelques accrochages diplomatiques dernièrement, notamment à propos des activistes de Greenpeace arrêtés dans l’Arctique russe.
« Nous avons déjà exprimé à plusieurs reprises nos préoccupations quant à la situation des droits de l’Homme en Russie et nous continuerons à le faire », a ajouté M. Rutte.
La ministre des Sports Edith Schippers et l’épouse du roi, Maxima, assisteront également à l’événement, prévu du 7 au 23 février.
Des voix en Occident aimeraient voir le Comité international olympique faire pression sur la Russie à propos d’une loi visant à interdire la promotion de l’homosexualité devant les mineurs. Certaines voix vont jusqu’à demander un boycott des JO.
Certains pays, comme les Etats-Unis, la France, l’Allemagne ou le Royaume-Uni, n’enverront pas leurs plus hauts dirigeants à la cérémonie d’ouverture, mais d’autres personnalités.