Lors de sa rencontre avec le président Jose Raul Mulino, M. Rubio « a clairement indiqué que ce statu quo était inacceptable et qu’en l’absence de changements immédiats, les Etats-Unis devraient prendre les mesures nécessaires pour protéger leurs droits en vertu du traité », a déclaré la porte-parole du département d’Etat, Tammy Bruce.
M. Rubio a déclaré au président Mulino que le président Donald Trump « a établi à titre préliminaire que la position actuelle d’influence et de contrôle du Parti communiste chinois sur la zone du canal de Panama constitue une menace pour le canal et représente une violation du traité concernant la neutralité permanente et le fonctionnement du canal de Panama », a ajouté la porte-parole.
Dans son discours d’investiture, Donald Trump a réitéré sa menace de « reprendre » le contrôle du canal de Panama, voie navigable entre l’Atlantique et le Pacifique construite par les Etats-Unis, inaugurée en 1914 et transférée au Panama en 1999.