« Aujourd’hui, ce que nous donnent à voir ces rendez-vous, c’est que c’est long, c’est que c’est flou, c’est que c’est fastidieux », a-t-elle déclaré. « Eux-mêmes sont dans une forme de tâtonnement, ils n’ont pas l’air de bien savoir où ils vont. »
Les sujets de fiscalité, d’environnement et de pouvoir d’achat ont été abordés, a détaillé Marine Tondelier, en soulignant que son parti continuerait à porter la taxe Zucman sur le patrimoine des ultra-riches, malgré l’opposition du Premier ministre, qui avait reçu un peu plus tôt le Parti socialiste et le Rassemblement national.
« On a demandé des choses précises », comme « une augmentation des APL » (aide personnalisée au logement), a ajouté Marine Tondelier. Mais « on sort avec aucune garantie sur rien », a-t-elle regretté, en se disant assez « perplexe ».
M. Lecornu n’a apporté « aucun élément qui pourrait ne pas amener à la censure », a conclu la cheffe des députés écologistes à l’Assemblée nationale, Cyrielle Chatelain.