« Nous comptons embaucher trois cent personnes d’ici la fin de l’année et 300 autres l’année prochaine », a déclaré à l’AFP la porte-parole des chantiers Aldona Dybuk.
« Nous avons diversifié notre production et le portefeuille des commandes est bien rempli dans les trois domaines de notre activité », construction navale, tours d’éoliennes et constructions métalliques, a-t-elle ajouté.
Berceau en 1980 du syndicat polonais Solidarité qui avait ébranlé le communisme, les chantiers de Gdansk ont connu des moments difficiles après le passage du pays à l’économie de marché dans les années 1990. Déclarés en faillite en 1996, ils ont subi diverses restructurations avant d’être repris en 2007 par des industriels ukrainiens qui contrôlent désormais 75% de leur capital. Les 25% restant appartiennent à l’Etat polonais.
Le site emploie actuellement 1.700 personnes.