Aker Arctic, qui revendique la place de numéro un mondial des brise-glace, a indiqué dans un communiqué qu’il était chargé de la « conception de base » ainsi que d’un « soutien technique dans les questions de coque et de système brise-glace ».
L’État a commandé, pour 50 millions d’euros, ce navire qui doit être exploité par l’administration des Terres australes et antarctiques françaises (Taaf), l’Institut polaire Paul-Émile-Victor (Ipev) et la Marine nationale pour le ravitaillement des bases polaires.
Avec une livraison prévue au début de l’été 2017, il doit remplacer deux navires qui ont atteint la fin de leur mission, L’Albatros, qui vient d’être désarmé, et L’Astrolabe, dont il reprendra probablement le nom.