Selon le journal en ligne, c’est DCNS –détenu à 65% par l’Etat français et à 35% par le groupe d’électronique Thales– qui commercialisera les navires construits par cette nouvelle entité.
« Parallèlement à cette opération, DCNS réfléchirait à reprendre le site de Lorient de STX (120 salariés), en très grande difficulté et qui a livré son dernier bâtiment en octobre », a ajouté le journal, précisant que DCNS « fait déjà travailler des salariés de STX Lorient sur le programme » des Frégates européennes multimissions (FREMM).
Le programme FREMM, mené par la France en coopération avec l’Italie, vise notamment à renouveler la flotte des frégates de lutte anti sous-marine et anti-aérienne de la Marine Nationale.
Et, selon La Tribune, « le groupe naval devrait prendre une décision avant la fin de l’année sur une prise de contrôle du fabricant irlandais d’hydroliennes, OpenHydro, dont il détient déjà 11% du capital ».
Le groupe dispose en effet d’une option expirant à la fin de l’année, qui lui permettrait de monter au capital et d’en prendre le contrôle. Son PDG Patrick Boissier a indiqué fin octobre qu’il souhaitait saisir cette opportunité.
THALES
STX OFFSHORE & SHIPBUILDING