« Très vive émotion alors que, plus de 24 heures après sa chute en mer au large, l’espoir de secourir le second maître Léo Soulas est désormais nul. Les recherches sont interrompues », a indiqué sur X Sébastien Lecornu.
Selon le chef d’état-major de la Marine, l’amiral Nicolas Vaujour, « les recherches, menées par plusieurs bâtiments et aéronefs, sont malheureusement restées vaines ».
Le marin, membre de l’équipage du Charles-de-Gaulle, « était détaché sur la frégate de défense aérienne Forbin escortant le porte-avions au sein du groupe aéronaval » (GAN), selon le ministre.
Le groupe aéronaval naviguait à 150 nautiques (environ 280 kilomètres) au sud des côtes toulonnaises en direction de son port d’attache lorsque la disparition du marin a été constatée.
Constitué, outre le porte-avions, d’un bâtiment-ravitailleur, de trois frégates et d’un sous-marin nucléaire d’attaque, il avait quitté Toulon (Var) fin novembre pour la mission « Clémenceau 25 », qui l’a emmené jusqu’à l’Est des Philippines.
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