Les nouveaux sites recevront jusqu’à 26 millions de livres (29,5 millions d’euros) chacun de financement du gouvernement britannique.
Le premier est situé à Anglesey, au nord-ouest du Pays de Galles, et le second recouvre Port Talbot, centre sidérurgique, et Milford Haven dans le sud de la région.
Ces nouveaux ports francs « rapporteront près de 5 milliards de livres sterling d’investissements privés et publics et créeront plus de 20.000 nouveaux emplois », promet l’exécutif dans un communiqué.
Le port franc d’Anglesey « mettra l’accent sur les technologies d’énergie marine et d’énergie à faible émission de carbone », tandis que celui du sud du Pays de Galles sera notamment consacré à « l’éolien offshore flottant, l’hydrogène, la capture, l’utilisation et le stockage du carbone et les biocarburants », précise le communiqué.
Ces nouvelles zones viendront compléter un programme de huit ports francs en Angleterre qui sont désormais tous opérationnels, selon le gouvernement, et deux autres annoncés en janvier en Ecosse.
Le ministre des Finances Jeremy Hunt a par ailleurs annoncé la semaine dernière son intention de créer douze « zones d’investissement », elles aussi accompagnées d’incitations fiscales, axées sur la technologie, le secteur créatif, les sciences du vivant, les industries de pointe ou « vertes ».
Ces zones seront situées notamment dans le nord et le centre de l’Angleterre, et le gouvernement britannique compte en implanter « au moins une » au Pays de Galles, a-t-il indiqué.