« D’abord, l’affirmer clairement et simplement: nous aurons un candidat unique de la gauche et des écologistes en 2027. Nous proposons que se mette en place, dans les semaines qui viennent, une coopérative des bonnes volontés qui jouerait le rôle de comité de campagne pour 2027 », explique la secrétaire nationale d’EELV, en évoquant « un cadre le plus large possible, qui associe, à égalité avec les partis politiques, les associations, les syndicats, les collectifs citoyens, les artistes… »
Mme Tondelier prône que cette « coopérative » propose « une méthode » pour la désignation de ce candidat. Mais « force est de constater que les primaires à l’applaudimètre militant, ces dernières années, n’ont pas porté bonheur à ceux qui y avaient recours, quel que soit leur camp politique », fait-elle remarquer.
« Si le débat des quatre prochaines années se résume à +Mélenchon, stop ou encore+, alors ce sera un échec », fait encore valoir la leader écologiste, en estimant que le candidat désigné devra présenter « des capacités à fédérer, à apaiser, à dialoguer ».
« Pour que l’on sorte des compétitions virilistes du passé, il serait peut-être temps de faire confiance à une femme », ajoute-t-elle.