« Nous reconnaissons que cela prendra du temps et beaucoup de travail, et se traduira non seulement par des déclarations, mais aussi des actes », a-t-il dit lors d’une conférence de presse en marge de l’Assemblée générale annuelle de l’ONU à New York.
Evoquant la « coopération et la coordination », que les présidents Joe Biden et Emmanuel Macron se sont engagés à approfondir lors de leur entretien téléphonique de mercredi, Antony Blinken a estimé que les deux pays alliés pouvaient « faire davantage » et « faire mieux ».
Il a longuement souligné l’importance de la France, notamment dans la région indo-pacifique où Washington a annoncé mi-septembre une alliance avec l’Australie et le Royaume-Uni qui a été à l’origine de la crise.
Le secrétaire d’Etat américain a eu un tête-à-tête jeudi matin à New York avec le ministre français des Affaires étrangères Jean-Yves Le Drian.
« Lui et moi sommes amis depuis longtemps », a-t-il dit au sujet de « Jean-Yves », « j’ai une grande, grande estime pour lui ».