Répondant aux critiques qui se sont multipliées contre l’exploitation des orques et des dauphins, le parc cherche depuis plusieurs années à développer sa dimension éducative.
Jusqu’au 31 août, les visiteurs (jusqu’à 15.000 par jour pendant l’été) pourront découvrir ces 100 clichés, tous finalistes ou lauréats l’an dernier du concours londonien qui attire près de 50.000 participants.
Pris au quatre coins de la planète, ces photos témoignent des merveilles de la nature comme des menaces pesant sur elle: un iceberg vu par sa pointe immergée, un renard arctique en pleine action, un gorille dans son intimité, des éléphants pris au piège par la déforestation en Malaisie, un hippocampe agrippé à un coton-tige…
Chaque photo est accompagnée d’une légende détaillant les circonstances dans lesquelles elle a été réalisée. « Cela permet de se mettre dans la peau de la personne qui l’a prise soit par chance soit après y avoir passé des heures et des jours », explique Isabelle Brasseur, biologiste au Marineland et coordinatrice du projet. La plus jeune photographe exposée a 5 ans.
Le parc, qui a mené plusieurs opérations de sensibilisation à la protection des espèces menacées (ours polaire, marsouins, etc.) est aussi agréé avec sa fondation pour soigner les tortues en milieu naturel.