« Les derniers résultats de la surveillance des zones de production de coquillages effectuée selon les protocoles établis par l’Ifremer (…) ont mis en évidence deux séries consécutives d’analyses microbiennes conformes aux normes de consommation humaine », indique-t-elle dans un communiqué.
La levée de l’interdiction concerne la pêche, le ramassage, le transport, la purification, l’expédition, le stockage, la distribution et la commercialisation pour la consommation humaine, précise-t-elle.
Le 7 novembre, suite à des résultats d’analyses microbiennes « non conformes aux normes de consommation humaine » la préfecture avait décidé de suspendre la récolte et la production.