Les forces d’élite de la Royal Navy étaient intervenues le 25 octobre au large de l’île de Wight (sud de l’Angleterre) après un appel de détresse du capitaine du Nave Andromeda, un pétrolier de 42.000 tonnes, et avaient arrêté les sept clandestins.
Les « sept hommes, dont deux qui avaient précédemment été inculpés et avaient comparu devant un tribunal, ne feront plus l’objet d’aucune poursuite », ont indiqué la police du comté de Hampshire et le parquet dans un communiqué.
Au vu de nouvelles preuves relevant de l’expertise maritime, « nous avons conclu qu’il n’y avait plus de perspective réaliste de condamnation », a expliqué Sophie Stevens, du parquet.
Le bateau battant pavillon du Liberia, que les sept hommes étaient soupçonnés d’avoir voulu détourner « par la menace ou la force », avait quitté Lagos début octobre pour rallier Southampton.
Ces derniers restent toutefois détenus en vertu des lois sur l’immigration.