Ces recommandations devraient se traduire par des réductions de captures importantes pour le merlu (-32%), l’églefin de la mer Celtique (-55%) et la sole du Golfe de Gascogne, constate le CNPMEM.
L’objectif final défini par la commission est que tous les stocks de poissons soient pêchés de manière soutenable d’ici à 2015.
Sur la base d’avis scientifiques, Bruxelles a recommandé de baisser les seuils de capture ou quotas pour 47 populations de poissons et de les maintenir au même niveau ou de les augmenter pour 16 stocks.
La Commission reconnaît pourtant que la proportion des stocks surexploités par la pêche intensive a pratiquement diminué de moitié depuis 2004 et que les stocks au titre du RMD sont deux fois plus élevés qu’en 2011, selon le CNPMEM.