Cette mesure avait été imposée le 4 décembre par un arrêté préfectoral en raison des « modifications engendrées sur la qualité des eaux » par les fortes pluies du début décembre.
La préfectrure de Haute-Corse a précisé que les analyses effectuées depuis dix jours ont permis de lever « tout soupçon » sur la qualité des eaux et des coquillages.
Cette interdiction est intervenue à la période des plus fortes ventes des coquillages de l’étang de Diana, réputés depuis l’antiquité romaine.
Les services de l’Etat, en liaison avec l’Institut français de recherche et d’exploitation de la mer (IFREMER) et les professionnels du secteur s’étaeint engagés à lever l’interdiction « dans les meilleurs délais ».