« Tous ceux qui sont détenus ou ont été condamnés à diverses peines de prison en raison de l’exercice légitime de leurs droits, notamment du droit à la liberté de réunion et d’expression pacifiques, doivent être immédiatement libérés et toutes les charges retenues contre eux doivent être abandonnées », exige encore le communiqué.
« Si quelqu’un meurt sous la garde de l’Etat on part du principe que l’Etat est responsable – une responsabilité qui ne peut être réfutée que par une enquête impartiale, approfondie et transparente menée par un organisme indépendant », souligne le Haut Commissariat, qui exhorte les autorités russes « à veiller à ce qu’une telle enquête crédible soit menée. »
La Russie a annoncé vendredi que l’opposant russe et adversaire numéro 1 de Vladimir Poutine était mort à 47 ans dans la prison de l’Arctique où il purgeait une peine de 19 ans.
Selon les services pénitentiaires russes (FSIN), Alexeï Navalny est mort après avoir eu un malaise soudain.