Ce niveau, en recul de trois tonnes par rapport à la précédente campagne de pêche, doit « permettre le maintien d’une activité de pêche traditionnelle importante pour certains territoires littoraux et estuariens », explique un communiqué conjoint de la ministre de l’Ecologie, Delphine Batho, et du ministre délégué chargé de la Mer et de la Pêche, Frédéric Cuvillier.
Par ailleurs, ce quota doit permettre d’atteindre progressivement les objectifs de réduction de la mortalité par pêche, fixé par le règlement européen sur l’anguille, selon le communiqué.
Espèce en déclin, l’anguille est soumise à un plan de reconstitution au niveau européen et à un plan de gestion au niveau national qui vise notamment l' »encadrement de la pêche professionnelle ».