« Le président de la République s’est entretenu hier avec le Premier ministre maltais, et à l’heure où je vous parle, une solution européenne semble se dessiner: (ce) serait un débarquement à Malte », a affirmé M. Griveaux sur RTL, alors que le bateau a été interdit d’accostage sur les côtes italiennes et maltaises par les autorités des deux pays.
Assurant que la crise est « politique avant d’être migratoire », il a appelé à « réagir par l’urgence à une situation d’urgence ».
« La France sera prête à envoyer une équipe sur place pour traiter les demandes (d’asile) de manière individuelle », a-t-il précisé, une démarche similaire ayant déjà été entreprise lors de l’accostage du navire Aquarius à Valence en Espagne, il y a une dizaine de jours.