Ils estiment que « le regroupement sous un même portefeuille des Affaires maritimes et de l’Environnement peut être un point positif s’il évite la dissémination des sujets et permet une meilleure coordination entre les politiques sectorielles. L’exigence la plus importante étant que ce regroupement s’inscrive dans une logique équilibrée de développement et de durabilité des activités maritimes« .
« Plus de cohérence pour une action plus performante et plus ambitieuse dans le domaine maritime, c’est ce que nous attendons de cette nouvelle commission et de ce nouvel organigramme, » ont ajouté les deux responsables.
Dans les prochaines semaines, les deux organisations porteront ensemble ce message aux nouveaux commissaires européens en charge de leurs dossiers.