« Ces attaques sont du domaine de l’attendu et il n’y a actuellement pas de danger aigü », a indiqué l’Office fédéral de la cybersécurité dans un communiqué, sans attribuer l’origine des attaques.
Ces attaques par surcharge aussi connu sous leur acronyme anglais de DDoS (Distributed Denial of service) « ont entraîné de petites pannes dans la plage de tolérance définie. Le fonctionnement des unités touchées n’a pas été affecté de manière significative », a précisé l’Office.
Avec de telles cyberattaques, « les hacktivistes visent à lancer des manoeuvres de perturbation dans le cyberespace afin de diffuser leur message politique et d’attirer l’attention », ajoutent les autorités suisses qui avaient indiqué s’attendre à ces tentatives.
Des dizaines de dirigeants du monde entier vont se retrouver en Suisse samedi et dimanche avec le président ukrainien Volodymyr Zelensky pour un sommet conçu comme un « premier pas » pour trouver la voie vers la paix en Ukraine, en présence d’un peu moins d’une centaine de pays et d’organisations internationales, mais en l’absence de la Russie et la Chine.
L’objectif du sommet, demandé par Kiev, est d' »inspirer un futur processus de paix », mais l’issue de la rencontre reste incertaine.
L’Ukraine espère obtenir un large soutien international en exposant les conditions qu’elle estime nécessaires pour mettre fin à la guerre.